Une semaine après la fin des vacances, Emile et Adèle partaient en voyages scolaires, le premier au ski, la seconde écrire un conte sur Belle-île. Puis ils sont revenus pour les conseils de classe, (Emile a oublié d'avoir sa traditionnelle petite baisse de régime, et augmenté encore sa moyenne), les Portes Ouvertes (deux inscriptions inattendues au Sacré-Coeur, d'ailleurs, merci à Franck et Frédé d'être passés me voir), les carnavals...
Emile a changé de chambre, intégrant notre ancienne et gigantesque pièce, et la transformant en « chambre de garçon » , comme il le dit lui-même, sorte de salmigondis de jouets divers et de vêtements sales. Lui reste à trouver une ontologie de ce lieu, convenable pour tous. Autre nouveauté dans nos pratiques : nous vivons tous, dorénavant, à l'étage. La encore, il faut trouver le bon rythme.
Nous sommes allés faire honneur à Tarzan, entre tout ça, via une projection du tout premier Tarzan filmé (noir et blanc, muet, terriblement expressif), puis d'une conférence anthropologique.
On court, on court, on court. D'autant plus que le jardin ne nous attend pas. Et que les hirondelles sont enfin de retour (de toute façon, Nico avait décidé de ne plus bloguer tant qu'elles n'étaient pas revenues (Hiver froid, retour tardif. Elles nous avaient habituées au 15 mars, elles sont réapparues formellement le 1er avril. Elles paraissent vouloir se fixer à la maison ce dimanche 3 avril : visite de l'étable, guet sur la ligne téléphonique).
Mais ces histoires de plein air n'ont pas leur place ici.