Le premier à avoir développé une addiction, c'est Nicolas. Réminiscence : il y a 25 ans, c'est son papa et sa maman qui contrôlaient son accès à l'Amstrad CPC 464 couleur, parce que sinon, ; il y aurait passé ses journées, obnubilé par l'écran. Ben, malgré les années, il est resté pareil. Sauf que la technologie est bien supérieure (même si un bon Pong plait toujours aux enfants de 2010, vérifié récemment).
Dans le principe, les enfants y jouent par 1/4 d'heure, les veilles de jours chômés, ou jours chômés. Emile a bien essayé de tricher, se jetant sur l'objet de désir dès 6h du matin. Il a perdu. A-t-il compris ? Il semble que oui.

Mais de fait, la multiplication des écrans le rend moins assidu à la lecture. Encore quelques adaptations à faire pour trouver le rythme idéal.
Agathe nous montre sa dextérité (motricité fine), Adèle son impatience (on dirait son père).
Une vertu, c'est la collaboration entre tous les enfants, sur un même jeu. On tablait sur des dissensions, des iniquités, mais de fait, l'entente est bonne, les objectifs communs. A voir...