Vendredi, soir, permanence au salon étudiant Formasarthe, au Mans, pour Nicolas, qui présentait les formations en secrétariat pour son établissement. Un dû, parait-il, intéressant en tout cas par les jeunes qu'on y croise. On rassure, on dépite, on blase. Les plus amusants sont ceux qui accompagnent leurs parents : totalement perdus devant la montagne de propositions dont ils semblent être à mille lieues, les autres qui traînent le pas de mauvaise grâce, répondant ainsi avec leurs armes aux inquiétudes... de leurs parents.
Samedi matin, puis fin d'après-midi, alors que volètent quelques flocons suffisant pour blanchir le sol très froid et sec, Sabine va faire les crêpes avec d'autres parents d'élèves pour financer les voyages de nos chères têtes blondes. Pendant ce temps, les parpaings montent le long de l'ébrasement de la porte qui séparera bientôt la mezzanine du couloir. C'est le bricolage du WE, un peu samedi, un peu dimanche (voir article bientôt).
Dimanche, très froid, et bonne idée : piscine le matin, puis concert des profs de l'école de musique, qui, autour du thème d'un repas de famille, ont joué Satie, la truite (des frères Jacques), Mozart, ou encore Bénabar, le tout entrecoupé de saynètes. Super original, mais pourtant, on ne peut pas s'attarder : le seul match diffusé grand-public du championnat d'Europe de handball nous attend. Et quel bonheur ! ! ! Le WE finit donc sur un apéro.
Une ligne encore, tiens, pour parler d'un truc qu'on n'évoque plus, alors qu'il fait partie de notre quotidien : la chaudière, toujours aussi récalcitrante, qu'on rallume presque 10 fois par jour, et le premier qui a une petite envie la nuit est bon pour descendre appuyer sur le bouton rouge. Le chauffagiste qu'on avait trouvé, un voisin, ne répond même plus à nos appels téléphoniques. Black-listés, les Rivet ! Il doit sentir le plan foireux, et le travail à perte, sur le long terme.