Le blog de la famille Rivet...
On change tout et on comprend plus grand chose
Techniquement, on a gardé Windows sous le coude. Avec un disque dur de 300 gigas, il y avait moyen de faire de la place pour tout le monde : 100 gigas à Vista, et 200 pour Kubuntu.
Au démarrage, le système nous demande simplement de choisir, dans une interface (durée limitée à 10 secondes) sous quel système on veut démarrer.
Puis, sans choix de notre part, c'est Kubuntu qui se lance par défaut.
Et là, c'est class. Un bureau tout vide, une barre de démarrage rapide complète et lisible, une ontologie plus éprouvée que sous Windows : c'est logique, c'est pratique, quoique...
Spéciale dédicace aux deux icônes « outils système » « outils persos » , c'est ainsi que je les appellerai, qui évitent un mélange des genres, et une fouille interminable des dossiers au risque de faire un faux pas dans une zone sensible du disque dur.
Alors, évidemment, ce n'est pas tout rose.
Certes, les programmateurs vous diront que Linux n'est plus réservé qu'aux seuls développeurs, et c'est vrai que les interfaces sont plus agréables, grand public, qu'autrefois, mais ça ne devient pas super chaleureux non plus.
La simplicité et la légèreté des logiciels s'explique aussi par le fait qu'ils sont parfois « vides » , d'où la nécessité de télécharger des librairies pour toute nouvelle application (et il ne faut plus être programmateur ?).
Et c'est bien là le plus gros problème, lorsqu'on est formaté par Windows et ses logiciels complets et inamovibles : on a l'impression que rien ne fonctionne, habitués à posséder des logiciels certes impossibles à améliorer, mais possédant déjà un nombre incroyable de fonctionnalités prêtes à l'emploi.