On a débité un gros chêne (pleure pas, Idéfix) pour nous alimenter en bois pour quelques semaines (mais dans deux ans parce que pour l'instant, il est encore vert.
Le sus-dit chêne se trouve dans une parcelle appartenant à Michel, près de Rouessé. Par un froid sans pluie, ce qui n'est pas mésestimable, nous avons donc commencé par nous entraîner à jouer de la tronçonneuse au chalet, en abattant et débitant tous les arbres morts qui s'y trouvent. Trois remorques qui nous permettent de finir la saison froide qui n'en finit pas (pluie et froid, quoique froid, pas trop, juste ce qu'il faut 0-2° pour en avoir ras le bol), puis, hop, le gros machin abattu quelques jours avant par des professionnels.
Au final, on s'est occupé trois jours dessus, pour douze stères à peu près qu'on partagera avec celui qui nous a rendu la ressource possible (c'est le principe du fermage). Hé ben, même avec le froid ambiant, pas besoin de le brûler pour que

ça réchauffe.