Dans l'étable végétait une vieille barrique à cidre. Nous l'avons sciée, puis recouverte d'un liner, puis remplie d'eau du puits, avant d'y ajouter des plantes, sur trois niveaux, pour composer ce nouveau biotope :

—  un nénuphar, arraché avec sa « terre » aux sables de la Sarthe, dans un pot, au fond de l'eau,
—  une salade d'eau, qui depuis fait son office de filtre et de plante invasive à merveille,
—  sur un parpaing, un pot d'hosta et le papyrus dont les tiges ont doublé de volume.

Ça fait du monde au mètre carré, surtout si on rajoute Emile, Agathe et Plouf (puisque seule Adèle a baptisé son poisson), qui ont rejoint le bassin quelques semaines après pour garder la maison quand on s'absentera.
Reste dorénavant à trouver l'équilibre de ce petit milieu pour éviter la saleté ou, au contraire, le manque d'éléments nutritifs.