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Saint-Aubin des Vignes

Le blog de la famille Rivet...

Publié le 08 07 2010 par N&S (Modifié il y a 6 ans)

Roses

Depuis début juin, nous faisons le tour du jardin l'appareil photo à la main, avec l'idée de faire part de nos pâmoisons florales. On aime les roses, et c'est pour ça qu'on a été si déçus de notre ratage à Pithiviers.

A tout seigneur, tout honneur, celui qui, prolixe, couvre l'entrée depuis 5 ans seulement, mais d'une végétation incroyable : le Speech Yellow, aux grosses fleurs très grosses et remontantes, parfum doux, et semble ne jamais pouvoir d'essouffler.

 Un de nos plus vieux. Il vient de Trigné, et nous ne savons plus le nom : grand Nord ? En tout cas, belles grosses fleurs blanches remontantes sur feuillage foncé et brillant. Jamais malade. Parfum subtil.

Acheté dès notre arrivée pour couvrir le crépis béton. Il reste un peu petit pour bien faire son office (grimpant de 3m maxi), mais ce Tour Eiffel 2000, à qui nous pardonnons ce nom horrible, a une couleur pourpre très lumineuse, de petites fleurs simples groupées en bouquets généreux et remontants, il est très vigoureux. Beaucoup de qualités qui font presque oublier qu'il n'a pas de parfum.

Madame Delbard, création récente (1985), jolie rose pourpre assez grosse, parfumée, groupée, remontante. Le buisson n'est pas très beau.

Jolie Môme, comme la précédente, une Delbard qui nous a été offerte pour mettre de la couleur dans la cour. Parfum et couleur d'abricot. Adore la chaleur.

Double Daylight, création récente, turbinée, assez grosse, très remontante, résistante, parfum exquis, bicolore dont les couleurs changent tout au long de la floraison. Un buisson très facile d'entretien. Une rose moderne idéale.

La Rose du Roi date du 16ème siècle. Rustique et moussue, elle craint les attaques de pucerons. Remonte péniblement, mais sa floraison presque unique est magnifique, nombreux pétales, vrai parfum de rose, capiteux, fleur très plate... J'adore !

Sa couleur indique son nom : Violette est un petit grimpant d'apparence fragile qui fleurit une seule fois, mais sa couleur et la délicatesse de ses fleurs simples est magique, avec les étamines dorées qui rajoutent à sa lumière.

Laure Davoust est encore un  petit grimpant non remaontant à petites fleurs pompons groupées rose pâle. Il marque pour nous la découverte du catalogue d'André Eve (voir son site).

Rose anglaise de David Austin, le Pilgrim est une rose à l'ancienne, très double avec toute les qualités des modernes, un port très droit, une belle résistance à tout (chaleur, maladies, insectes), un parfum discret et une belle remontance.

Haaa, la Cuisse de Nymphe. Son nom suffit. Dommage qu'il n'y en ait pas toute l'année. Un vieux rosier sans entretien, et très généreux. (même les insectes l'adorent)

La Monsieur de Morand. Très belle vieille rose lourde, froissée, un bouton très rond, un parfum sensationnel

Pinkgrotendoerst, un buisson épineux, pour l'instant tout petit, avec des fleurs roses en forme, et à l'odeur d'oeillet. Il esxiste en blanc et en rouge aussi.

Notre églantier géant, qui protège la piste d'envol des hirondelles de l'appétit des chats.

Ghislaine de Féligonde est très généreuse. Joli buisson couvre-sol qui va du jaune à l'orangé en passant par des teintes rosées. Superbe. Jamais malade, remontant. Occupe presque 4m² de surface.

Le mari de Ghislaine. Mias on ne sait pas son nom. Ce beau blanc  a les même caractéristiques que le précédent, même volume, même générosité, avec un bois très rouge et des feuilles très foncées et vernies.

Le petit dernier, souvenir de notre visite à Pithiviers. C'et une obtention d'André Eve. L4auberge de l'Ill, du nom d'un restaurant Alsacien, est un couvre-sol à toutes petites fleurs doubles. Et comme tout ce qui est petit... il est très mignon.

Le Clio. Son nom est un poème, mais son exposition, chez nous, sous les arbres, l'empêche de s'épanouir. Ses fleurs, pourtant de jolis petits boutons roses pâle, sont rares, rouillent, et le piede monte en hauteur. Vers une autre destination à l'automne ?

Dybreak, comme la Rose du Roi, sont des antiquités dans notre collec. Ils viennent de Trigné. Et celui-ci est un buisson assez aéré, assez haut, plus tardif que la plupart des autres, mais remontant, avec des fleurs toutes simples mais très remarquables, d'un jaune marqué.

Le rosier d'autoroute... Ce machin dont je ne connais pas le nom occupe fréquemment les parterres municipaux, les terre-pleins centraux... Sans entretien ,il est volumineux, brillant, peut s'oublier dans un coin du jardin (comme dans la bassinne en fonte où nous l'avons récupéré chez Cécile) et permet d'occuper un mauvais coin de jardin, par exemple.

Le Kew Rambler, que Laurent veut absolument résumer à un simple églantier. Mais non. Tardit, cette liane peut atteindre 8m et plus, et les petites fleurs simples, groupées, sont résistantes, bicolores, aux étamines jaunes d'or, et pleuvent en bouquet.

Les rosiers de Chine sont invasifs, mais qu'est-ce qu'ils sont beaux. S'ils ne remontent pas, leurs fleurs simples se succèdent pendant plusieurs semaines au bout des terminaisons, puis se transforment en charmantes boules orangées. Ils sentent très bons, maisleur multiplication peut être un problème.

Mon arrière grand-mère. Je ne connais pas son nom, mais c'est un descendant de celui que papa récupéra chez sa grand-mère en Limousin. La fleur est sensible à l'humidité, mais ce gros chou rose pae légèrement jaune à l'intérieur est d'une beauté lorsqu'il s'ouvre. Et son parfum est une référence.

Charles de Mills est le roi des rosiers, peut-être, parce que sa floraison est brève et incoyable. Odorante, abondante, les pétales ne peuvent se compter dans le coeur d'une fleur. Un de mes préférés.

Un autre rosier de collection, le Chinensis Sanguinea aime le soleil, les sols pauvres. Un vrai rustique tout simple, rouge sang, sans greffon, et très généreux, qui peut atteindre 2m.